Réflexions sur la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

L’arrière-grand-mère de David G. LaFrance, Virginie Leblanc (assise), avec sa famille d’Oka, au Québec, en 1915. Mme Leblanc était membre de la Première nation algonquine.
L’arrière-grand-mère de David G. LaFrance, Virginie Leblanc (assise), avec sa famille d’Oka, au Québec, en 1915. Mme Leblanc était membre de la Première nation algonquine. ⓒ 2024 par Intellectual Reserve, Inc. Tous droits réservés.

L’équipe de la Salle de presse s’est récemment entretenue avec David G. LaFrance et son épouse, Lori LaFrance. Elder LaFrance a été nommé membre du sixième collège des soixante-dix de L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours lors de la conférence générale d’avril 2020. Il supervise l’interrégion du nord-est de l’Amérique du Nord et le Conseil de la coordination de Toronto. Nous avons invité le couple à nous faire part de ses réflexions à l’occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation.

Le Canada souligne chaque année la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation le 30 septembre. « C'est une occasion pour rendre hommage aux survivants, aux familles et aux communautés touchés par le système des pensionnats autochtones, a expliqué Elder LaFrance. Cette journée est importante, car elle encourage la réflexion, l’éducation et l’action en faveur de la guérison et de la réconciliation. »